L’assurance voiture : les européennes… et les autres

Voiture immatriculée, nous passons à la dernière étape. L’assurance ! Pour cela, nous effectuons des comparaisons sur internet et lançons des demandes de devis. Il faut bien vérifier les conditions pour que cette comparaison soit fiable. Un petit exercice, un peu de discussions avec les assureurs, et le tour est joué.

Nous choisissons la moins chère pour les mêmes prestations.

On reçoit la carte verte… avec une date limite d’un mois. Certainement pour valider les documents envoyés.

Trois semaines plus tard, comme je n’ai aucune nouvelle, je prends le taureau par les cornes et j’appelle le service clientèle de l’assurance.

Réponse : On n’a pas encore eu le temps de faire la vérification. Patientez.
(Cinq minutes après)
Assurance : Vos relevés de vos précédentes assurances sont en allemand et anglais. Il nous faut une traduction.
Moi : c.-à-d. ? Une traduction de ma part ?
Assurance : Oui (silence). Mon collègue m’informe que non. Il faut une traduction certifiée.
Moi (la moutarde me monte au nez, je l’avoue) : Et c’est maintenant, parce que j’appelle, que vous me le demandez ? Alors que la conseillère m’a confirmé que tout est OK ? Si je ne vous avais pas contacté, vous auriez fait quoi ? Vous m’auriez prévenu la veille ?
Assurance (sans s’excuser) : Nous n’avons pas eu le temps d’effectuer la vérification plus tôt.
Moi : Je peux au moins obtenir un délai ?
Assurance : Non, vous devez nous envoyer la traduction avant la date limite.
Moi : Merci pour le mauvais service, je vais contacter une autre assurance.

Ce que j’ai aussitôt fait. Je pouvais obtenir la traduction certifiée en deçà d’une semaine (après quelques recherches sur internet). Or, si pour juste le contrat, l’assurance n’est pas capable de fournir un service digne de ce nom, que penser en cas de sinistre ?

Le pire !

Je recontacte donc une des autres assurances dans mon comparatif. On m’informe : la traduction avait déjà été réalisée dans leurs services pour proposer le devis. Il ne reste plus qu’à signer le devis. Et voilà une assurance à l’année, sans nous embêter avec des traductions certifiées.

Par conséquent, n’oubliez pas de vérifier ce point si vous arrivez avec un relevé non français.

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